États-Unis : une libération bien tardive20/03/20232023Brèves/medias/breve/images/2023/03/Prison_Bars.jpg.420x236_q85_box-0%2C96%2C1024%2C672_crop_detail.jpg

Brève

États-Unis : une libération bien tardive

Illustration - États-Unis : une libération bien tardive

En Floride, un homme noir qui avait été condamné à 400 ans de prison, pour complicité présumée dans un braquage en 1988, vient d'être libéré : une enquête a finalement révélé qu'il avait été incriminé par erreur sur la base d'un témoignage douteux. Il pourrait toucher 50 000 dollars mais cela ne lui rendra pas les 34 années passées en détention.

Et pour une victime enfin disculpée, combien de travailleurs innocents sont encore derrière les barreaux, dans ce système qui produit des erreurs judiciaires en série parce qu'il est fondamentalement anti-pauvres et raciste, et incarcère presque 1 % de la population ?

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