Ils veulent faire entendre ”le camp des travailleurs”18/05/20172017Presse/medias/articlepresse/images/2017/05/Nouvelle_image_0.jpg.420x236_q85_box-0%2C0%2C496%2C279_crop_detail.jpg

Article de presse

Haute-Savoie Lutte ouvrière a présenté hier ses candidats

Ils veulent faire entendre ”le camp des travailleurs”

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De gauche à droite, une partie des candidats : Dominique Ribot (suppléant 4e circonscription) ; Maryvonne Martel (suppléante 2e), Fabrice Rosay (suppléant 5e), Jean-Paul Macé (1re) Naci Yildirim (2e) et Raphaël Ponsard (suppléant 6e). Photo Le DL/I.D.

Leur programme, c’est celui porté par Nathalie Arthaud lors de la présidentielle. Leur engagement dans les législatives (11 et 18 juin) n’a qu’un objectif : "Défendre le camp des travailleurs".

Ils ne cherchent d’ailleurs pas à évoquer des sujets locaux. Les candidates et candidats de Lutte ouvrière en Haute-Savoie, qui ont été présentés, hier, à Annecy, revendiquent tous un engagement militant de longue date au sein d’un parti qui veut porter les "intérêts des travailleurs, qui sont diamétralement opposés à ceux de la grande bourgeoisie".

"La parité est strictement respectée et tous les candidats sont issus du monde du travail. Nous ne sommes pas des politiciens professionnels" a insisté Jean­Paul Macé (retraité de la métallurgie), lui-même candidat sur la 1re circonscription d’Annecy, comme en 2012. Martine Dunand (auxiliaire de vie sociale) est sa suppléante.

Naci Yildirim (ouvrier dans la métallurgie) se présente sur la 2e (suppléante Maryvonne Martel, postière) ; Jacques Matteï (ouvrier dans la métallurgie) sur la 3e (suppléante Frédérique Bibas-­Debruille, employée) ; Sabrina Ghoual (assistante administrative) sur la 4e (suppléant Dominique Ribot, dessinateur), Michelle Bally (agent d’hôtellerie) sur la 5e (suppléant Fabrice Rosay, enseignant) ; Catherine Derrien (enseignante) sur la 6e (suppléant Raphaël Ponsard, enseignant). "Notre pays traverse une catastrophe sociale et on ne s’en sortira pas autrement que par des luttes sociales" assurent-­ils en chœur. D’autant plus avec un nouveau président qui, ils en sont persuadés, "va finir par foutre en l’air le code du travail". 

 

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