Alstom-General Electric Belfort :  Amiante : Le scandale continue

Echo d'entreprise
20/10/2021

Le parquet de Paris, qui représente l’État, a décidé d’un non-lieu pour la direction d’Alstom Belfort, suite à une plainte déposée en 1997, pour «homicides et blessures involontaires» pour avoir exposé à l’amiante des centaines de travailleurs.

Des salariés d’Alstom sont décédés, d’autres sont malades jusqu’à la fin de leur vie. Pour justifier sa décision, le tribunal prétexte qu’on ne peut dater exactement le début de l’exposition des salariés concernés.

Quel cynisme ! Les patrons à l’époque savaient pertinemment les risques qu’ils faisaient courir à leurs salariés.

Avec ce non-lieu, l’Etat montre une fois de plus qu’il est résolument du côté du patronat.

Révoltant !

PSA Sochaux-Secteur Ferrage Atelier  :  La galère d’un intérimaire

Echo d'entreprise
12/10/2021

Un ouvrier précaire licencié en date du 19 août, parmi les 650 intérimaires virés par Peugeot, a envoyé à ce jour 51 CV sans aucune réponse !

Sans compter toutes les demandes qu’il a faites dans les boîtes d’intérim.

Au fait, qui avait dit qu’il « suffisait de traverser la rue pour trouver du travail » ?

Alstom-General Electric Belfort :  Irresponsabilité patronale !

Echo d'entreprise
08/09/2021

A Alstom, c’est le branle bas de combat du côté de la direction.

La cause en serait des défauts de soudure sur les TGV. La production au niveau de la soudure est bloquée et peut-être par conséquence dans les autres corps de métier.

Cela fait des années que le patron mène une lutte permanente pour faire toujours plus de profits. Les contrôleurs ont été quasiment supprimés.

Quand un nouvel embauché arrive, il doit être immédiatement productif. C’est la course permanente pour aller toujours plus vite que ce soit à la production ou aux essais.

Cela est réellement inquiétant et irresponsable pour des trains comme le TGV qui roulent à très grande vitesse. Bien sûr, on devrait avoir des garanties quant à la qualité des trains fabriqués.

Maintenant ce n’est pas à nous, travailleurs, d’en faire les frais et de nous en faire porter la responsabilité !

Solvay Tavaux :  À leurs serviteurs dévoués

Echo d'entreprise
17/04/2021

La PDG de Solvay, gagne 11 000 €... par jour, samedis et dimanches compris, pour ne citer qu’elle parmi les dirigeants.

Si les actionnaires bourgeois qui possèdent Solvay les couvrent d’or, c’est pour avoir des gens dévoués corps et âme à leurs intérêts et capables de nous exploiter au maximum, quelle que soit la situation.

On le voit bien dans cette période de crise où la PDG a fermé deux usines l’an dernier et a décidé de supprimer 500 emplois cette année.

Tout cela pour que les actionnaires puissent continuer à toucher exactement les mêmes dividendes. Mais c’est notre travail qui permet de dégager toutes ces richesses. Elles sont à nous !

PSA Sochaux :  Le patron joue la division

Echo d'entreprise
27/03/2021

La façon d’attribuer la prime de 3000 euros brut a choqué, à juste raison, les travailleurs.

D’une part, les ouvriers intérimaires et des sous-traitants ne l’ont pas eue alors que par leur travail ils ont participé à la récolte des bénéfices.

Et d’autre part parce que cette prime est amputée pour des arrêts maladie.

En revanche, les familles capitalistes, Peugeot et Agnelli, et quelques gros actionnaires ont perçu le pactole sans avoir mis la main à la pâte.

Un reflet de leur société capitaliste pourri

PSA Sochaux :  Ils ne font que se goinfrer

Echo d'entreprise
27/01/2021

Stellantis, fusion de Fiat-Chrysler et PSA va convoquer ses actionnaires en assemblée générale extraordinaire virtuelle le 8 mars prochain selon la presse.

Moins virtuel est l’objet de cette réunion puisqu’il s’agit de redistribuer les 54 millions d’actions et 308 millions d’euros de la vente de Faurecia par PSA.

Et ils viendront dire aux 400 000 travailleurs du groupe qu’il n’est pas possible d’augmenter les salaires !

Alstom Belfort :  Alstom antiseptique naturel

Echo d'entreprise
20/11/2020

Ce lundi 16 novembre on a appris qu'il y avait 17 cas avérés de Covid 19 chez Alstom.

L'inquiétude, déjà importante, grandit de plus en plus, car chacun a une connaissance touchée, certains ont côtoyé un malade... Déjà début novembre, quatre camarades travaillant dans des bureaux avaient été contrôlés positifs. La direction avait alors alerté l’ARS. Mais évidement, les consignes sont passées, personne n'a attrapé le virus à l'Alstom… tous ont été contaminés à l'extérieur. Bizarrement, les cas sont concentrés sur quelques endroits. Faut arrêter de nous prendre pour des idiots...

Une bonne partie des camarades contaminés travaillent dans les locos comme câbleurs et monteurs. Comme solution, la direction envisagerait de nous faire travailler d’équipes. Elle reconnait elle-même que nous sommes trop entassés. Mais ce n’est pas monté au cerveau de la direction de baisser le temps de travail sans toucher à notre salaire.

Il faudra la bousculer pour l’imposer !

Alstom-General Electric Belfort :  Tour de Cochon !

Echo d'entreprise
24/09/2020

Le Tour de France, c’est des casquettes, des T-shirts de toutes les couleurs transformés comme les coureurs en panneaux publicitaires pour les sponsors les plus riches.

Par contre les banderoles dénonçant les licenciements à General Electric Hydro que nous avons déployées lors de l’étape de la planche des belles filles, ne sont pas bien vues....

Rapidement, la police nous a fait comprendre que nous n’étions pas les bienvenus sur les écrans de télé.

Sans doute pour des raisons sanitaires, n’est-ce-pas ?

Alstom-General Electric Belfort :  Non aux licenciements

Echo d'entreprise
24/09/2020

La Direction de GE Hydro nous a réuni pour présenter son plan de licenciements lundi après midi à l’Atria.

La réunion a tourné court, au bout d’une heure, nous sommes sortis et avons exprimé notre colère et hué La direction.

Spontanément, la grande majorité d’entre nous avons manifesté en ville, en direction de la Préfecture et la Mairie de Belfort derrière une banderole dénonçant ce sale coup.

Aucune raison d'accepter des licenciements dont la seule justification est d'enrichir un peu plus les actionnaires.

General Electric - Belfort :  Défendre nos intérêts

Echo d'entreprise
17/07/2020

Après avoir rencontré le ministre de l’économie à Bercy, General Electric Turbines Gaz aurait eu une révélation : il a trouvé huit axes pour assurer un « avenir » à l’usine de Belfort.

Comme par hasard, il s’agirait de projets dits « écologistes » comme une filière hydrogène. L’Etat, la région se disent déjà prêts à « aider » General Electric à coups de centaines de millions.

Mais pour notre avenir à nous, les travailleurs rien n’est prévu. GE après avoir fait des promesses d’embauches, a licencié massivement. Comment pourrait-on lui faire confiance ?

Ce que nous avons besoin, ce n’est pas d’un hypothétique avenir industriel, c’est d’avoir un avenir tout court pour pouvoir vivre, se loger, finir les fins de mois etc...

Ce qu’il nous faut ce sont des embauches pour avoir de meilleures conditions de travail, d’une augmentation de nos salaires qui nous permette de vivre décemment.

Bref, nous avons besoin de défendre nos intérêts jusqu’au bout