PSA Metz-Borny :  Moins de voitures, plus de profits...

Echo d'entreprise
08/10/2021

La presse annonce que la production mondiale de voitures a baissé de 14,5 millions en 2020.

Cela n’a pas empêché le groupe Stellantis, entre autres, de faire trois fois plus de bénéfices au premier semestre 2021 que dans toute l’année 2020 avec des effectifs en baisse continue.

A croire que dans le groupe ce n’est pas des voitures qu’on produit, mais des lingots d’or !

PSA Metz-Borny :  Leur seul carburant ? Le pognon !

Echo d'entreprise
13/07/2021

Les représentants de la filière des moteurs thermiques demandent un soutien de l’État de 17,5 milliards d'euros pour pouvoir réussir la transition des moteurs thermiques vers les moteurs électriques.

Électrique, essence ou diesel… les patrons de l’automobile carburent avant tout au pognon.

PSA Trémery (Moselle) :  Mettons un tigre dans notre moteur !

Echo d'entreprise
05/07/2021

La filière de production des moteurs emploie en France 57 000 salariés. Avec la fin programmée des moteurs thermiques, les patrons prévoient qu’il ne restera plus que 44 000 travailleurs en 2030.

Bref, ils programment 13 000 licenciements. C’est leur plan. Le nôtre, c’est de maintenir tous les emplois, en diminuant les charges de travail, en ramenant les pauses à ce qu’elles étaient avant et en arrêtant d’imposer des heures supplémentaires obligatoires. Au final, il faut se répartir le travail entre tous sans baisser les salaires pour qu’aucun d’entre nous ne soit au chômage.

Les patrons le peuvent, ils ont des montagnes de cash en caisse. Ils ne le veulent surtout pas. Il faudra les y contraindre. Mais thermique ou électrique, c’est nous les travailleurs qui faisons tourner les ateliers.

Sans nous pas de moteurs… et pas de profits !

CHRU de Nancy :  Ce n’est que le début !

Echo d'entreprise
03/07/2021

Le rendez-vous avant d'aller interpeler le DRH

Depuis le 8 juin, jour de grève très suivi contre la suppression des 14 RTT, les agents restent toujours mobilisés alors que la direction a essayé de désamorcer la colère en reportant à septembre le passage du dossier en CTE. Le mécontentement est toujours aussi profond et réel.

Ainsi, mercredi 23 juin, ils se sont invités par surprise à une réunion organisée par le directeur des ressources humaines avec les agents des magasins sur le sujet.

Il a pu voir et entendre la colère devant cette injustice et la détermination à ne pas se laisser faire.

La suite en septembre…

 

PSA Trémery (Moselle) :  De l'argent pour les salaires, pas pour les actionnaires

Echo d'entreprise
22/06/2021

La fusion à 50-50 de Peugeot-Citroën SA et Fiat Chrysler devrait rapporter aux actionnaires 5 milliards d'euros de "synergies" par an d'ici cinq ans.

Et y’a pas de sous pour embaucher et augmenter les salaires ? Poser la question c’est y répondre…

CHRU de Nancy :  La solidarité, ça existe !

Echo d'entreprise
03/06/2021

Le bâtiment de cardiologie Louis Mathieu à Brabois : les agents travaillent ensemble, ils ne trouvent pas qu'ils ne bénéficient pas tous des revalorisations salariales !

Dans le bâtiment de Cardiologie à l'hôpital Brabois, des agents ont pris l’initiative de faire signer une pétition contre le fait que les ASH sont exclues des augmentations salariales du Ségur de la Santé, accordées uniquement aux infirmières et aux aides-soignantes.

Médecins, cadres, infirmiers, aides-soignants, etc. sont nombreux à la signer.

Un bel élan de solidarité qui montre la voie à suivre !

 

PSA Trémery :  Benvenuto !

Echo d'entreprise
12/05/2021

Benvenuto !

Alla fabbrica sono arrivati dei compagni della Fiat.

Questo, è la prova che c'è una carenza di personale ed' è urgente assumere. Quindi, lavoratori di ogni paesi uniamoci, abbiamo gli stessi padroni di fronte a noi. Benvenuti ai nostri compagni italiani !

Bienvenue !

Plusieurs dizaines de camarades de Fiat sont arrivés dans l’usine. C’est bien la preuve qu’il manque du personnel et qu’il serait urgent d’embaucher.

Alors, travailleurs de tous les pays unissons nous, nous avons les mêmes patrons en face nous. Et bienvenue à nos camarades italiens !

 

CHRU de Nancy :  Une catastrophe sanitaire

Echo d'entreprise
20/04/2021

L'hôpital d'enfants lui-même doit faire de la place pour les malades Covid

Face à la vague épidémique, c’est le sauve-qui-peut au CHRU. Les étudiants, les retraités sont appelés au secours. Il a été fait appel à des médecins anesthésistes (5) des cliniques privées. Le groupe Elsan a mis à disposition 6 infirmiers. Le Groupement hospitalier de territoire prête 41 agents. Le 12 avril la réserve sanitaire a envoyé 6 soignants, infirmiers et aides-soignants, venus d'autres régions.

Des patients sont envoyés en Alsace.

Des salles d'opération sont fermées pour faire place à des réanimations improvisées, de nombreuses interventions sont reportées.

Et, maintenant, même les enfants hospitalisés sont touchés par la grave pénurie de moyens. L'hôpital d'enfants a dû déprogrammer 25 % des opérations qualifiées de « non urgentes » pour… accueillir à leur place des patients adultes Covid.

Voilà le désastre auquel on est confronté, parce que tous les gouvernements ont fait la sourde oreille quand les hospitaliers revendiquaient haut et fort des effectifs et des lits.

 

PSA Trémery :  Semi-conducteurs, maxi-profits !

Echo d'entreprise
29/03/2021

Pas mal d’usines sont à l’arrêt et à PSA Trémery des ateliers sont arrêtés à cause du manque de semi-conducteurs, qu’on trouve dans les puces électroniques. Pourquoi ?

Comme pour les vaccins, les médicaments… les capitalistes n’ont pas investi pour satisfaire la demande croissante. Ce qui les intéresse c’est de faire du profit, pas de satisfaire les besoins. Et la pénurie fait monter les prix… c’est tout bénéf pour eux !

Pour les semi-conducteurs, ce sont des usines à l’arrêt. Pour les vaccins, ce sont des morts supplémentaires et le risque de l’apparition de nouveaux variants. Mais le profit capitaliste passe avant tout.

CHRU de Nancy :  Une salle d’opération ouverte sur deux…

Echo d'entreprise
23/03/2021

La fermeture d'une salle d'opération sur deux entraine le report d'interventions et la perte de chances pour les malades

A Brabois une salle d’opération sur deux par spécialité chirurgicale est fermée, car des médecins anesthésistes et des infirmiers ainsi que des respirateurs ont été affectés aux réas proches de la saturation en raison du Covid.

Comme il y a toujours des patients à opérer impérativement et des interventions reportées qui ne peuvent attendre indéfiniment, les journées de travail s’allongent. Les programmes opératoires se terminent bien après 20 heures et, ensuite, il faut enchaîner sur les urgences ! Résultat : les nuits d’astreinte sont souvent des nuits blanches.

C’est ce qui s’appelle être exploité !