« Lutte Ouvrière - Le camp des travailleurs » aux élections partielles en Ariège.09/03/20232023Communiqués/medias/communique/images/2023/03/09_01_Gisele_LAPEYRE-Daniel_JUNCA_BR_communique.jpg.420x236_q85_box-40%2C0%2C553%2C288_crop_detail.jpg

Communiqué

Ariège

« Lutte Ouvrière - Le camp des travailleurs » aux élections partielles en Ariège.

Illustration - « Lutte Ouvrière - Le camp des travailleurs » aux élections partielles en Ariège.

Gisèle LAPEYRE, technicienne de laboratoire, sera la candidate de « Lutte ouvrière – Le camp des travailleurs » aux élections législatives partielles du 26 mars dans la 1 ère circonscription d’Ariège. Son suppléant sera Daniel JUNCA, chauffeur. Avec le soutien de Nathalie Arthaud.

Alors que les profits et les dividendes des actionnaires battent record sur record, toute l’économie est en train de se détraquer. De plus, en Ukraine, à nos portes, la guerre fait rage et menace de s’étendre, comme le montre l’augmentation des dépenses d’armement.

Les prix de l’énergie et de la nourriture s’envolent. Des familles ouvrières se privent pour se nourrir. Des millions de femmes et d’hommes jonglent avec des petits boulots sans réussir à gagner leur vie. Et des millions d’autres sont tellement mal payés qu’ils ne parviennent plus à faire face aux dépenses quotidiennes. Ces maux ont une seule et même cause : la soif de profit des capitalistes. C’est pour préserver ces profits et les grandes fortunes que le gouvernement attaque les chômeurs et veut repousser l’âge de la retraite. S’il laisse les hôpitaux, les Ehpad, les écoles ou les transports publics sombrer, c’est pour continuer de verser des milliards d’argent public aux plus grands groupes capitalistes.

Nous ne pouvons nous opposer à cette régression qu’en défendant nos intérêts de classe.

Cela n’a rien de commun avec la démagogie de l’extrême droite qui dissimule les responsabilités du grand patronat et veut détourner le mécontentement contre les travailleurs immigrés. L’extrême droite veut nous dresser les uns contre les autres alors que nos intérêts de travailleurs sont les mêmes quelles que soient nos origines. La lutte contre la régression sociale doit venir de tous les travailleurs et se construire à partir des entreprises et des quartiers, car notre force est là et non au Parlement. Les travailleurs doivent affirmer leurs revendications d’avoir tout à gagner à contester cet ordre social.

Nous ne sommes pas condamnés à la domination de la bourgeoisie et de ses politiciens. Toute la production de la richesse dépend de nous, il dépend aussi de nous de changer la société pour mettre un coup d’arrêt à son évolution catastrophique et guerrière.

Avec le bulletin de vote « Lutte ouvrière - Le camp des travailleurs », on peut défendre l’idée que les travailleurs ne peuvent compter que sur eux-mêmes ! On peut affirmez que le monde du travail devra imposer ses revendications et ses objectifs de lutte des travailleurs pour inverser le rapport de force avec le grand patronat.

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