Article de presse

"Les travailleurs sont déjà exploités par les patrons. Maintenant, ils se font aussi voler par les prix et l’inflation."

Lutte ouvrière toujours au combat

"Les travailleurs sont déjà exploités par les patrons. Maintenant, ils se font aussi voler par les prix et l’inflation." : Lutte ouvrière toujours au combat
Lutte ouvrière toujours au combat

Les travailleurs sont déjà exploités par les patrons. Maintenant, ils se font aussi voler par les prix et l’inflation. Cela ne peut pas durer. » Ce constat, c’est le fondement de la campagne de Lutte Ouvrière pour les élections législatives.

Le parti de Nathalie Arthaud prône notamment un salaire minimum de 2 000 euros, des payes annexées sur la hausse des prix et un contrôle de l’argent public par les salariés. « Il faut que la classe ouvrière se mobilise pour défendre ses propres intérêts. Sans les travailleurs, la société ne peut pas fonctionner, on l’a bien vu pendant la crise covid », assurent en chœur les candidats dans la 1re, 2e et 3e circonscription. Ils ne croient plus à l’union de la gauche qui n’a jamais changé les choses par le passé. « Les idées que nous portons sont les seules qui permettent d’avoir un espoir pour la société. »

 

Les candidats

Marie-Renée Balty (1re circo). 67 ans, sympathisante depuis ses années fac. « Et rien ne s’est passé pour me faire changer d’avis. » Éducatrice spécialisée à la retraite.

Jean-Michel Ghiotto (2e circo). 71 ans, enseignant à la retraite. « Lutte ouvrière, ce sont mes idées depuis que j’ai commencé à comprendre le fonctionnement de la société. »

Pierre Deidon (3e circo). 72 ans, fonctionnaire territorial à la retraite. Militant depuis mai 1968. « Il faut s’attaquer au pouvoir des patrons et des banquiers. »

Ricardo Candido Da Silva (7e circo). Artisan ramoneur.

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