La rumeur court, selon la presse, que, juste avant l'attaque contre les tours du World Trade Center de New York, de grosses quantités d'actions des compagnies d'assurances américaines auraient été vendues en Bourse. De là à y voir la main de Ben Laden, forcément bien informé et connu pour avoir gagné des milliards dans la finance... Cela pourrait faire le scénario d'un film "noir".

En tout cas, ce qui est certain, c'est que dans l'heure qui a suivi l'attentat, à Wall Street, la spéculation sur les monnaies faisait rage, une fois n'est pas coutume, au détriment du dollar et en faveur de l'euro. Dans le même temps, les actions des compagnies pétrolières et celles des sociétés liées à l'armement s'arrachaient. Et là, nul besoin d'y voir la main de quelque manipulateur secret : ce sont des grosses sociétés d'investissement américaines, européennes et japonaises qui ont procédé à ces opérations. Les tours du World Trade Center ne s'étaient pas encore effondrées, avec des milliers de victimes innocentes sous elles, et les secours n'étaient pas encore arrivés que les requins de la finance, eux, étaient déjà à... l'action.