Agressions permanentes et en tous genres subies par le monde du travail, intensification des rythmes de travail, salaires bloqués, menaces permanentes de licenciement : le patronat est partout à la manoeuvre pour accroître ses profits déjà considérables et indécents.

Le gouvernement, lui, multiplie les provocations : insultes et attaques contre les chômeurs, destruction systématique des droits des travailleurs, attaques sur les retraites et tous les droits sociaux, santé, éducation, destruction des services publics vitaux pour la population. Tout cela pour, avec l'argent ainsi pillé, remplir les poches du patronat de cadeaux fiscaux, d'aides en tous genres, de dégrèvements de cotisations sociales.

Alors le 1er mai, la journée de lutte internationale des travailleurs, doit être l'occasion, partout où des manifestations seront organisées, d'affirmer le refus, le dégoût et la colère de toute la classe ouvrière, face à cette offensive générale du monde des possédants et sa volonté d'inverser radicalement le cours des choses.