Les propriétaires qui renonceront à au moins un mois de loyer pour des entreprises, ou des commerces en difficulté, bénéficieront d’un crédit d’impôt. Tant mieux si des petits commerçants ou des artisans en profitent, mais c’est surtout une bonne nouvelle pour les gros bailleurs, dont les loyers seront de fait pris en charge en partie par l’État.

Les centaines de milliers de salariés en chômage partiel, de travailleurs intérimaires en fin de mission ou d’autoentrepreneurs sans activité devront, eux, payer leur loyer.