« La générosité qu’on a connue pendant des décennies est peut- être arrivée à son terme », a osé dire Farandou, l’actuel ministre du Travail à propos de la prime de Noël versée aux plus pauvres et qu’il entend supprimer, du moins aux personnes sans enfants.

Cette prime, versée aux bénéficiaires de minima sociaux et aux chômeurs en fin de droits, varie en fonction de la composition du foyer : elle est d’environ 150 euros pour un célibataire, 230 pour un couple sans enfants ou 503 pour un couple avec cinq enfants. Inutile de dire qu’elle est attendue par tous avec impatience.

Mais l’ancien patron de la SNCF, comme tout le reste de sa clique, s’en prend aux plus pauvres qu’il accuse de ruiner le pays. Cherchez l’erreur !