Leur société
Galileo
global pognon

Dans son livre « Le Cube », la journaliste Claire Marchal révèle que le groupe Galileo, spécialisé dans l'enseignement supérieur privé, transforme ses établissements en machine à cash. Pour cela les étudiants sont entassés sans souci de la sécurité, car l’important pour Galileo est d’encaisser les 8 à 10 000 euros de frais de scolarité. En parallèle, le nombre de cours est revu à la baisse pour économiser en dépenses.
Plus les places en enseignement supérieur public sont limitées, plus les étudiants sont tentés de s’inscrire chez ce genre de profiteurs, qui font payer cher une formation au rabais.
L'un des principaux actionnaires de Galileo est Françoise Bettencourt-Meyers, héritière de L’Oréal. On n’est pas une des femmes les plus riches du monde sans sacrifices... imposés aux autres !