Défenseure des patrons

Le Pen a rencontré le Premier ministre pour, nous dit-on, le menacer de voter une motion de censure contre le gouvernement si le budget restait en l'état.

Pour se donner un côté peuple, elle a critiqué la hausse de la taxe sur l’électricité et la non-indexation des retraites sur l’inflation. Mais elle a surtout fustigé la baisse des allègements de cotisations sociales des entreprises ainsi que l’augmentation d’une taxe qu’elles paient pour financer (un peu) les transports pour les collectivités.

Donc pour le RN, pas question de faire moins de cadeaux aux patrons et pas question de leur demander le moindre effort.